MIGUEL CHEVALIER

MIGUEL CHEVALIER

AVEC LA GALERIE DEPUIS 2010

Pionnier de l’art numérique, Miguel Chevalier utilise l’information comme médium pour s’exprimer dans le domaine de l’art depuis 1978. Son travail aborde la question de l’immatérialité dans l’art en utilisant la logique de l’informatique, comme l’hybridation, l’interactivité et la générativité. . Cette exposition présente une série d’installations numériques ainsi que des œuvres fixes, récentes ou plus anciennes, qui explorent les thèmes de la ville et de la transformation urbaine.

Avec ces œuvres, l’artiste renouvelle notre vision de la ville et de son architecture, réinventant ainsi la ville de demain et réimaginant notre monde futur. Avec ces œuvres numériques, Miguel Chevalier saisit le caractère insaisissable de ces nouvelles formes de la vie urbaine contemporaine : se renouveler sans relâche, accélérer la transformation. Laissant de côté toute mémoire chronologique et linéaire, il construit par l’image une « constellation temporelle » urbaine, entre construction et destruction, croissance et mutation.

LÉLIA MORDOCH



BIOGRAPHIE

LAST EXHIBITIONS

Art cinétique et art digital, Paris 2021
ArtParis Artfair, Paris 2021
Machine vision, Paris 2019
Vortex, Paris 2015
Power pixel, Miami 2015

Né en 1959 à Mexico. Vit et travaille à Paris. Depuis 1978, Miguel Chevalier utilise l’informatique comme moyen d’expression dans le champ des arts plastiques. Il s’est imposé internationalement comme l’un des pionniers de l’art virtuel et du numérique. Son oeuvre, expérimentale et pluridisciplinaire, prend ses sources dans l’histoire de l’art dont il reformule les données essentielles. Son travail aborde la question de l’immatérialité dans l’art, ainsi que les logiques induites par l’ordinateur, tels que l’hybridation, la générativité, l’interactivité, la mise en réseau. Il développe différentes thématiques, telles que la relation entre nature et artifice, l’observation des flux et des réseaux qui organisent nos sociétés  contemporaines, l’imaginaire de l’architecture et des villes virtuelles, la transposition de motifs issus de l’art islamique dans le monde numérique. Les images qu’ils nous livrent interrogent perpétuellement notre relation au monde. Miguel Chevalier réalise de nombreuses expositions dans des musées, centres d’art et galeries dans le monde entier. Il réalise également des projets dans l’espace public et architectural.

Since 1978, Chevalier has focused exclusively on computers as an artistic means of expression. He quickly secured a spot on the international scene as a pioneer of virtual and digital art. Miguel Chevalier continues to be a trailblazer, and has proven himself to be one of the most significant artists on the contemporary scene. Miguel Chevalier’s oeuvre is experimental and multidisciplinary. Taking references from the history of art and reformulating them using computer tools, his works investigate and explore recurrent themes such as nature and artifice, flows and networks, virtual cities and ornate designs. His images are a rich source of insights into ourselves and our relationship with the world. He has created many projects variously incorporating generative and interactive virtual reality installations projected on large scale, shown on Leds screen or LCD screen, sculptures created with a 3D printer or with laser cut, holographic imagery and other forms. He has been awarded a number of architecturally- based commissions. Miguel Chevalier’s digital works are in constant metamorphosis, plunging us into a magical, poetic and very contemporary universe.


OEUVRES DISPONIBLES

VAGUE BINAIRE | 2009

MÉTA-CITÉ VIDÉO | 2016

TRANS-NATURE | 2020

MÉTA-CITÉ LINÉAIRE | 2016

MÉTA-CITÉ n°4 | 2013

MÉTA-CITÉ n°1 | 2017

PIXEL BRUSH (RVB) | 2017

ARCHI-PIXEL | 2014


L'ATLAS

L'ATLAS

Avec la galerie depuis 2013

L’artiste français Jules Dedet Granel, dit L’Atlas, né en 1978, trouve par ses recherches autour de l’écriture le point de départ de son travail plastique et pictural. Il a étudié la calligraphie dans plusieurs pays et cultures et crée ainsi ses propres typographies originales. Il est particulièrement attiré par l’idée de créer un langage pictural universel, qui soit un juste équilibre entre la forme et la lettre, entre l’acte et l’intention. Jeu de variations infinies, affleurant et s’éloignant de l’art optique et des différents mouvements de l’art abstrait et géométrique. Dans les années 1990, il agit radicalement dans l’espace public, se faisant connaître dans le champ du graffiti; depuis les années 2000 il développe un travail d’atelier et expose ses œuvres dans des galeries d’art urbain contemporain.

L’Atlas présente la particularité de rechercher et de renouveler systématiquement son approche et son expression de la lettre et de la ligne, du rythme codifié de l’écriture, cherchant la frontière de l’illisible, et menant méthodiquement son oeuvre vers l’abstraction et le minimalisme ; il considère toute forme comme une lettre et tout lettre comme une forme, ce qui le conduit à travailler récemment avec des urbanistes pour donner une troisième dimension à son art et réinvestir l’espace public d’une autre manière redonnant ainsi un sens à la dimension architecturale de son travail.


PROCHAINE EXPOSITION

SÉRÉNITÉ

10 octobre au 16 novembre 2024


Jules Dedet Granel, also known under the pseudonym, L’ATLAS, is recognized for his distinct style that blends calligraphic graffiti with geometric abstraction. Interested in calligraphy, L’ATLAS studied under Arabic calligraphy masters such as Hassan Massoudy and Mouneer Al-Shaarani in Morocco and Egypt, later using these traditional techniques in the street art scene in Paris. In his pursuit of a common visual language, L’ATLAS emphasizes the dislocation and breakdown of borders.

Works such as Seal 12 (2018) use two colors to express duality, purity, the essence of the idea, and the calligrapher’s mark. His interests in geometric abstraction and Sufism produce a visual language that is inspired by and deviates from optical art and abstract art traditions, often working with transparent tape and spray paint or ink on paper and canvas. L’ATLAS designed the logo for the brand Fenty. His work has been commissioned by the Centre Pompidou and the Place du Capitole in Toulouse.



ÉDITION

Optical graffiti | 2018
29 cm x 25 cm
96 pages
Prix: 35€

Commander

OEUVRES DISPONIBLES

CASCADE N°1 | 2018

SANS TITRE | 2012

WHITE BLADE II | 2022

BLACK BLADE II | 2022

CLOSE UP N°8 | 2013

CLOSE UP N°3 | 2013

RED PERSISTENCE | 2013

GREY PERSISTANCE  | 2013

STRUCTURES | 2012

YELLOW LINES | 2013

PINK RECTANGLES | 2013

PINK LINES | 2013

PINK LINES | 2013

BLACK & YELLOW LINES | 2013

ICONIC SQUARE | 2015


JOSE ARELLANO

JOSE ARELLANO

Avec la galerie depuis 2010

Le travail optique de Jose Arellano, nous emmène dans un jeu de perspective inversé. L’objet suit le regard, il confond notre compréhension. Les ombres en peinture, les structures en papier et la délicatesses des angles donnent à ces oeuvres une légèreté convaincante.

Jose Maria Arellano (b.1977) is a Miami based sculptor who contrives interactive visual semblances from epoxies, carbon fiber and paint. Arellano, a creative since a young age became an artist in 2013 going  full-time in 2016. Since then, his sculptures have been exhibited at Art Paris, Art Miami, Art Wynwood, Scope Miami/New York, Art Palm Beach, Palm Beach Modern + Contemporary and at the Lelia Mordoch Gallery in Miami and Paris. His optical-kinetic wall sculptures are formulaically skewed and precisely crafted to produce a virtual reality experience uniquely dependent on the perspective and movement of the viewer. They are experiments in optics, perception and interpretation.



OEUVRES DISPONIBLES

PIRAMIDS | 2022

FLOWERS OF LIFE | 2022

BLUE WATER | 2022

GOONFIT | 2020

GREY MATTER | 2020

RUBY | 2019

TRESTELS | 2019

THE DANCE | 2019

ICARUS PEARL | 2020

EVENTIDES | 2019


PATRICK HUGHES

PATRICK HUGHES

PERSPECTIVE PERPÉTUELLE

Oui, c’est une démonstration par l’inverse et par l’absurde des jeux de la perspective. Oui, le travail de déconstruction, qui amène le point de fuite derrière le nez du spectateur plutôt que devant, est particulièrement déroutant. Il n’y peut mais, le spectateur ! Il se retrouve aspiré comme dans un vortex qui, innocemment ou perfidement, l’amène au point où la réalité se mélange au mouvement des œuvres auquel il participe bien malgré lui. Tout cela est bien vrai, tout comme l’utilisation de la déconstruction de la perspective en une dérision des avant-gardes, dans une profusion d’images d’Epinal contemporaines qui sautent au yeux dans un cycle incessant d’anamorphoses et de palimpsestes. Des images simples qui captivent, mais là n’est pas l’essentiel.

Qui n’a jamais rêvé de rentrer dans un tableau comme Alice au Pays des Merveilles ou Peter Pan, de se retrouver tout à coup protagoniste de l’histoire qui défile sous ses yeux, de se téléporter à l’intérieur du tableau ? Je pense que la magie de Patrick Hughes est là, dans cette projection de l’image fantasmée que s’approprie le spectateur lorsqu’il danse avec le tableau. La quatrième dimension l’emporte où la réalité s’inverse, tout comme la perspective. Bienvenue dans les univers multiples de Patrick Hughes où l’artiste nous entraîne grâce à un travail de miniatures et de géométrie qui n’appartient qu’à lui, et qu’il accepte de partager parfois avec nous. Les portes s’ouvrent et se referment.

LÉLIA MORDOCH



BIOGRAPHIE

LAST EXHIBITIONS

ArtElysee, Paris 2010
A cheval sur mon trapézoïde volant, Paris 2010
MIA Artfair, 2008
Perspective perpétuelle, Paris 2007

Patrick Hughes est un artiste britannique connu pour avoir inventé une illusion optique unique apppelée la « reverspective »: une peinture en relief à trois dimensions où les objets qui semblent les plus proches du spectateur sont en fait les plus éloignés dans l’espace. Son travail joue avec la perspective et la distance, défiant et parfois désorientant son public. « Quand les principes de la perspective sont inversés et consolidés dans des peintures sculptées, quelque chose d’extraordinaire se produit », déclare-t-il à propos de son travail.

« L’esprit se laisse duper à croire en l’impossible, qu’une peinture statique peut bouger d’elle-même ». Né Peter David Hughes le 20 octobre 1939 à Birmingham en Angleterre, le peintre crée en 1964 Sticking-out Room, sa première « reverspective », après avoir étudié au Leeds Day Training College. Le jour de sa remise de diplôme, sa première exposition a lieu à la Portal Gallery de Londres. Vivant et travaillant actuellement à Londres en Angleterre, Hughes continue de suivre les traditions du Pop art, de l’art optique et du surréalisme.

Patrick held his first solo show in 1961 at the Portal Gallery, London. It was the first one-man show by a Pop Artist, though they were not even called that then. A few years later, Hughes made two seminal reverse perspective works, Infinity and Sticking-out Room. In the 1970s Hughes’ name became synonymous with rainbow paintings, which also became very popular as prints and as postcards; people enjoyed them as decoration, but for Hughes the rainbow represented a solid experience.

In the late 1980s Hughes revisited exploiting the difference between perspective and reverspective and solidifying space. For the last 25 years his 3-D reverspective paintings have been hughesually in demand, exhibited around the world and featured in many public collections. The experience of seeing a Patrick Hughes sculptured painting in reality is really to experience unreality and the paradox of illusory space and movement.


OEUVRES DISPONIBLES

THE SPACE MERCHANT | 2007

BRILLO | 2008

SHEEP | 2008

PURISM | 2006

GAZEBO | 2005

CONPENDIUM | 2010

CLOUDY | 2008

VENEZIA | 2008

POPPY | 2010